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« La peinture de Jacques Truphémus atteste la primauté de l’affection qui s’attache aux êtres sur la matière qui semble les trahir. Elle restitue à un grand art menacé – peinture et poésie dans un même regard, un même souffle – l’exigence qui en fait la garantie de son avenir. » Yves Bonnefoy, « Le regard de Jacques Truphémus », préface à Jacques Truphémus, © RH Editions – DG Communication, Lyon, 2011.
Peinture de Jacques Truphémus (La belle Servante, huile sur toile, 1980)
Dans les cafés métaphysiques
Les servantes aux longues fatigues
Sont lampes qui éclairent le Temps
Dehors la neige a leur visage.
La Fin de l’attente, Le Temps qu’il fait, 1996.