David d’Angers : l’art dialoguant avec l’énergie des visages

Un conteur du récit national

Condé, Galerie David d’Angers, Angers.

Un romantique, ami intime de Victor Hugo

Galerie David d’Angers, Angers.

Un républicain rendant hommage à la magnanimité d’un ennemi de la République

Le Pardon de Bonchamps, Galerie David d’Angers, Angers.

Un témoin des génies de son époque

Goethe, Galerie David d’Angers, Angers.

Un grand psychologue, un sculpteur des âmes

Destutt de Tracy, Galerie David d’Angers, Angers.

Un témoin de la poésie de son temps, ici Marceline Desbordes-Valmore

The Metropolitan Museum of Art, New York.

Galerie David d’Angers

Un autre regard sur ce lieu

Saint-Just dans l’art

Louis-Antoine de Saint-Just par Pierre-Paul Prud’hon (MBA de Lyon)

Saint-Just est mort guillotiné le 10 thermidor An II (28 juillet 1794), il avait vingt-sept ans, mais son regard et son visage continuent à nous scruter dans nos médiocrités bourgeoises, nous posant la même question dans l’éternité que durant sa si courte vie.

“Si vous vous voulez la République, attachez-vous au peuple et ne faites rien que pour lui. La forme de son bonheur est simple, et le bonheur n’est pas plus loin des peuples qu’il n’est loin de l’homme privé. Un gouvernement simple est celui où le peuple est indépendant sous des lois justes et garanties, et où le peuple n’a pas besoin de résister à l’oppression, parce qu’on ne peut point l’opprimer.”

“L’unique chevalerie des jeunes morts / Dans l’oubli des forfaitures” JPV

Saint-Just par David d’Angers, Galerie David d’Angers, Angers.